Accueil » Les violences Basées sur le Genre ou (VBG) utilisée afin de d’écrire la vulnérabilité des femmes et des Jeunes filles faces aux violences en raison de leurs subordinations aux hommes dans la société de nos jours.  

Les violences Basées sur le Genre ou (VBG) utilisée afin de d’écrire la vulnérabilité des femmes et des Jeunes filles faces aux violences en raison de leurs subordinations aux hommes dans la société de nos jours.  

Par Aminata OUATTARA
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Les violences basées sur le genre est une violence concernant principalement les femmes, les jeunes filles, et les enfants qui sont généralement victime de toutes sortes d’abus de nature sexuelle, physique, verbale, psychologique (émotionnelle) ou socioéconomique et prend de nombreuse formes. Elle découle de la relation d’inégalités de pouvoir entre homme et femme. Ces  violences sont dirigées contre les femmes de manière disproportionnée  du fait qu’elles sont des femmes dans une société qui les veulent toujours soumisse et reléguer au second plan.

Chaque année dans le monde, plus de 246 millions d’enfants sont victimes de violence en milieu scolaires dans les familles et les communautés. La (VBGMS) violence basée sur le genre en milieu scolaire est devenue au fil des années un sérieux obstacle dans la réalisation de l’éducation pour tous. L’inégalité des normes sexo-spécifiques et des relations de pouvoir sont le principale moteur de cette violence, qui se manifeste par des brimades et des abus physiques, des châtiments corporels, un harcèlement sexuel et verbal, des attouchements et d’autres formes d’agressions sexuelles de la part de leurs camarades, professeur et employé qui sont déterminés par tous les moyens et stratagèmes possible pour arriver à leurs fin qui t’a détruire la vie de ces  pauvres innocente. Ce fut le cas de Oumou SANOGO « j’ai été victime d’harcèlement de la part de mon professeur de mathématique au lycée ça a été une période extrêmement pénible. C’était ma première année de lycée, au début il avait un comportement des plus normale que je prenais en rire quand il a commencé à me faire des avances que j’ai refusée il était plus âgé que moi, ces-là  qu’il a commencé à me harcèle, me rabaissant en classe a colporté de  faux rumeurs, couper mes note de cour, pour me force a accepté ces avance. J’étais désespère n’allait plus en cour, ma mère a fini par remarquer mon attitude je lui es donc fait part mes inquiétudes, elle ma accompagne voire le proviseur pour lui relater les faits il a donc confronte l’homme en question qui a été par la suite renvoyé. J’ai fini par découvrir que je n’étais pas la seule fille plaignante de son comportement  à avoir fait les frais et harcèlement de ce professeur.» comme beaucoup d’autres Oumou nombreuses a ce taire, victime harcèlement en milieu scolaire. Ce type de harcèlement à des conséquences très réelles pour la vie des apprenants qui vas de la dépression à de l’estime de soi très faible, jusqu’aux grossesses précoces et  non désirées aux infections sexuellement transmissible. Ces Sans compte les impacts graves sur les résultats scolaires, beaucoup décidé de se taire ou même pire encore l’abandon des  études. Malheureusement cela n’est nullement un cas isolé de vbg dans notre société,  les violences conjugales, mariage précoce, harcèlement au travail, les viols et même l’esclavage des êtres humains dans certains pays.

Elles sont nombreuses à ne rien dire et souffrir en silence, à cause de leurs milieux social de la famille et des préjugés «  Une femme arrive à l’hôpital  suite à une série de blessures, ecchymose à l’œil,  brûlures, égratignures au dos une fracture au poignet, des antécédents de visite à l’hôpital »  AWA Traore est  une jeune mère de 3 (trois) enfants battus par son marie qui a subi des violences conjugale, un exemple parmi tant autres ces violences sont de véritable problème actuelle qui subsiste dans notre société, qui a coûté et continue encore de coûté la vie à de nombreuse personne tuée des mains de leurs partenaire. Dans cette même société qui essayé de nous dire que ces abus de l’homme sur sa femme est normale alors qu’il n’en n’est rien. Ou encore comme  OUEMATOU une jeune fille victime de mariage précoce « j’ai été victime de mariage précoce par mes parents qui m’on donne de  force à mon cousin lorsque le n’avais que 14ans. Pendant 3ans, la violence a fait partie de mon quotidien. Comme je n’acceptais aucune relation conjugale avec le monsieur, sa famille la convaincu de me forcer de me battre quotidiennement pour que j’accepte. Après plusieurs tentative de fugues et de torture physique dont j’ai été victime, je suis revenue chez mes parents  je n’avais plus gout à la vie et voulais divorce mais mon présumé marie refusa et ma promit que  je mourais célibataire si je ne retournais pas  avec lui, mon père qui ma force à rentrer dans ce mariage  regretta sa décision mais il était  trop tard ma famille très  démunie  était tire entre deux épingle  ne pouvant prendre en charge un divorce et voulant préserver les liens de parenté entre les deux  familles. »

Toutes  ces femmes et jeune filles victime d’harcèlement en milieu scolaire, sur les lieux de travailles, des violences conjugale, mariage précoce, des victimes de viol comme DJAMINATOU, abuser  par son oncle à l’âge 11ans et obligé de se taire par peur des menaces de son violeurs, ou encore MARIM victime de viol collectifs qui sont dans le silence de leurs douleurs, sont psychologiquement (émotionnellement) atteintes,   traumatisées de trouble de stresse et physiquement affaiblies.

Beaucoup d’ONG, d’association et bien d’autres  sont mobilisées chaque jour dans le monde pour lutte contre les violences basées sur les genres (VBG) qui est l’une des violations des droits de l’homme les plus  étendues elle ne reconnaît ni frontière ni culture, ni richesse ou emplacement géographique.

Les violences basées sur le genre peuvent être dirige contre un homme ou une femme du fait de son sexe. Les rapports homme/femme étant la plupart du temps régis par une relation de pouvoir inégale où les hommes ont un rôle social dominant, ce sont les femmes qui sont le plus souvent victime de ce type de  violence. De façon générale, ce phénomène peut s’explique par une inégalité patente entre homme et femme souvent matérialisée par un rapport de force omniprésent laissant place à des démonstrations de violence à l’encontre des femmes. Ces préjudices faites à l’encontre des femmes à lieu à la maison, dans les rues, dans les écoles, au travail, dans les camps de réfugiés lors des conflits dans les pays en guerre qui sont  les lieux de prédilection de violence basée sur le genre.

Elle se manifeste de différentes manières allant des fléaux les plus répandus des violences domestiques et sexuelles aux pratiques destructives d’abus de femmes enceinte, tueries fondées sur des supposées valeurs morales et d’autres formes de féminicide.               

  Aminata OUATTARA    

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